C'est le malaise du moment, l'épidémie qui s'étend. La fête est finie on descend les pensées qui glacent la raison. Paupières baissées, visage gris. Surgissent les fantômes de notre lit on ouvre le loquet de la grille du taudis qu'on appelle maison. Protect me from what I want. Protect me, protect me. Sommes nous les jouets du destin. Souviens toi des moments divin. Planants, éclatés au matin et maintenant nous sommes tout seul, Perdus les rêves de s'aimer le temps où on avait rien fait, Il nous reste toute une vie pour pleurer, et maintenant nous sommes tout seul. Protect me from what I want.
Protège-moi
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